
Texte de présentation : Magali Grana.
Une psychothérapie analytique, pourquoi ?
La psychothérapie analytique peut être vue comme un pont entre la psychothérapie de soutien et la psychanalyse.
L’approche analytique est une méthode très intéressante lorsqu’on commence à s’interroger sur sa façon de fonctionner, sur la pertinence de ses schémas, sur ses mécanismes d’actions, de pensées et de défenses, et sur ses processus inconscients. Les expériences de vie qui commencent à nous bousculer ou à se reproduire plusieurs fois comme pour nous signifier quelque chose peuvent en être des indicateurs. Les signaux contenus dans les rêves ou les cauchemars seront à interroger également.
On travaille sur ses schémas, ses fonctionnements, ses répétitions, ses pensées, ses défenses, ses actions, ses réactions, ses paroles, ses rêves, ses cauchemars, ses silences, son inconscient…
Comment se déroule une séance ?
La séance se déroule en face à face. La séance dure 1 heure, et le nombre de séances le temps nécessaire.
L’approche analytique, pour qui ?
Pour toute personne dite « névrosée » et qui souhaite mieux se connaître.
Elle s’adresse également à tout étudiant inscrit dans un institut de formation en psychanalyse et devant entreprendre une analyse personnelle suffisamment aboutie pour devenir psychopraticien analytique.
Comme dans toute pratique ou démarche thérapeutique, il peut y avoir des contre-indications. L’approche analytique n’est pas recommandée pour tous : sujets avec psychoses diagnostiquées (schizophrénie, paranoïa), certains troubles des états limites ou certains sujets avec troubles du spectre de l’autisme. Dans ces cas, il est préférable de demander l’avis du médecin traitant, du spécialiste ou de la structure de suivi, lequel/laquelle statuera sur la prescription la plus adaptée.
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Note : Les pratiques proposées s’inscrivent dans le cadre d’une démarche d’écoute, de connaissance de soi et de mieux-être.
Elles ne constituent pas et ne remplacent pas un avis médical, un suivi médical ou un traitement médical. Elles n’ont pas pour but non plus de poser des diagnostics.